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6 mai 2010 4 06 /05 /mai /2010 08:24

Ca y est, nous sommes enfin dans l’avion qui nous amène en Polynésie. Après cinq heures de vol, nous faisons une petite escale sur l’île de Pâques avant de repartir pour Papeete. Une fois arrivés, nous attendons la femme qui doit nous amener à notre pension. Voyant qu’elle nous a oubliés et après 1h30 d’attente, nous décidons finalement de passer la nuit à l’aéroport puisque nous avons un vol pour Bora Bora 6 heures plus tard.  

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Après une nuit blanche nous prenons finalement notre vol. Et là, nous découvrons depuis le ciel les îles et leurs lagons aux couleurs somptueuses.

  

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Lorsque nous atterrissons à Bora Bora, nous sommes accueillis avec des colliers de fleurs et nous montons à bord du bateau qui nous mènera au Bora Bora Pearl Beach Resort. Et oui, nous n’en revenons toujours pas de pouvoir passer deux nuits dans l’un des plus beaux hôtels de l’île. Merci mille fois à Christian et à Gigi de nous avoir offert ce si beau cadeau ! Après quelques minutes de traversée, nous découvrons un ensemble de bungalows sur pilotis au milieu d’un lagon aux eaux transparentes. L’hôtel n’est pas situé sur l’île principale mais sur un Motu, un îlot de sable près de la barrière de corail. Inutile de vous dire que l’accueil a été royal, petit cocktail de bienvenue et cadeaux (dont une perle noire de Tahiti).  

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  Nous parcourons un dédale de pontons pour arriver à notre bungalow, situé tout au bout. Il est l’un des mieux placés : nous avons une vue époustouflante sur le volcan de l’île principale et sur une île paradisiaque à notre droite. C’est officiel, le paradis existe ! C’est très dur de retranscrire ce que nous voyons mais les photos parlent d’elles-mêmes.

 

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 Lorsque nous ouvrons la porte, c’est l’euphorie : il y a un lit géant, une super salle de bain et une table basse en verre à travers laquelle nous apercevons le lagon. Les tables de nuit le sont aussi, ainsi que les meubles à côté du lavabo et de la baignoire.

  

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Une grande baie vitrée délimite notre chambre d’une terrasse en bois à partir de laquelle nous pouvons nous baigner. C’est d’ailleurs la première chose que nous faisons. Il y a des coraux juste en dessous notre pilotis avec des dizaines de poissons multicolores nageant autour. 

  

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Nous passons notre journée entière à nous baigner et à profiter du lieu. Caroline s’est même offert le luxe d’un massage d’1h20 au spa de l’hôtel ! Bref, journée de rêve ! 

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Le soir, bien que crevés à cause de notre nuit blanche, nous allons boire un verre au bar où un spectacle polynésien y est donné. Nous sommes emballés par les rythmes et le déhanchement des vahinés (« femme » en Tahitien), ainsi que par la danse virile des tanes (« homme ») ressemblant étrangement au Haka. 

 

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En rentrant après le spectacle, nous découvrons une bouteille de champagne sur notre table basse, ainsi qu’un petit mot nous souhaitant la bienvenue. Nous passons une nuit super, bien différente de celles passées dans nos précédents hôtels.

 

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Le lendemain, nous nous levons relativement tôt pour profiter un max de notre journée. Nous commençons par un super petit déjeuner. Vu le prix de celui-ci, nous décidons de le rentabiliser et il est vrai que le buffet est à faire pâlir d’envie ! Nous mangeons tellement que nous ne pourrons plus rien avaler  jusqu’au soir. Après ça, nous décidons de partir en canoë. La couleur de l’eau est extraordinaire, elle passe du bleu le plus clair au bleu le plus foncé. Nous nous rendons sur l’île paradisiaque que nous voyons depuis notre chambre sous un soleil de plomb. D’ailleurs, en deux jours nous serons plus bronzés que nous l’avons été en quatre mois de voyage. Encore une fois, nous passons notre temps à observer les poissons, coraux et raies qui passent à côté de nous.

 

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Le lendemain, après avoir rendu la chambre à 11h,  nous décidons de partir en fin d’après-midi afin de profiter un maximum de ce cadre idyllique. Nous nous posons à la piscine, mangeons au restaurant, puis nous allons à la plage, elle aussi sublime !

 

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C’est avec regret que nous prenons la navette pour l’île principale, où nous avons réservé deux nuits supplémentaires dans une pension. Cette dernière se situe à la pointe de l’île, sur la plage de Matira. Le standing n’est pas le même mais c’est tout de même très sympa. Nous avons une chambre avec balcon et vue sur le lagon. Durant deux jours, nous ne nous lassons pas de ces plages.  

C’est le cinquième jour que nous prenons un vol à destination de Moorea. Encore une fois,  nous sommes éblouis par la beauté des îles que nous survolons. Après avoir posé nos bagages à notre pension (cette fois-ci, nous sommes en dortoir), nous allons explorer les alentours. Même si l’île est superbe, le lagon n’a rien à voir avec celui de Bora Bora. Mais ce qui est fabuleux avec Moorea, ce sont les montagnes qui semblent plonger dans le lagon. La vue est aussi belle côté mer que côté terre.

   

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Le lendemain, nous partons pour l’hôtel Intercontinental. C’est là bas que nous devons nager avec les dauphins. Et oui, il est enfin temps pour nous d’assouvir un vieux rêve ! Durant une demi-heure, nous allons les voir nager, les toucher et les observer faire des sauts impressionnants. Ce fut vraiment un moment inoubliable.

  

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Après cela, nous retournons à notre pension en stop, tout comme à l’aller. Il faut dire que nous n’avons pas beaucoup de succès auprès des Polynésiens ! Et nous saurons plus tard qu’il est très difficile de faire du stop à Tahiti. C’est Eric, un français venu s’installer à Moorea, qui s’arrête pour nous prendre. Le lendemain, il nous fera faire le tour de l’île et nous montrera les plus beaux points de vue. 

Après trois jours passés sur Moorea, nous partons vers Tahiti à sept minutes de vol de là. Nous découvrons alors notre appareil, un petit coucou d’une vingtaine de places où il n’y a aucun steward ni personnel de bord, mais seulement un pilote que l’on voit manœuvrer car aucune porte ne nous sépare de lui. Il se retourne, nous fixe en souriant et nous souhaite la bienvenue avant de s’envoler. Nous arrivons à bon port quelques minutes plus tard et nous nous rendons en taxi chez Alexandre, un français que l’on avait contacté précédemment sur Hospitality Club afin qu’il nous héberge. Petite surprise tout de même avec le taxi car Alexandre n’habite pas Papeete mais à Paéa, à environ 20 kms. Coût de la course : 30€ ! Et il faut dire que la Polynésie est de loin le pays le plus cher que nous n’ayons jamais vu ! Les prix sont exorbitants : pour vous donner une idée, c’est à peu près 1€ la tomate, le moindre plat est à 15€ et la chambre la plus basique commence à 60€.

Le lendemain, réveil à 4h30 pour tout le monde ! Sa fille de 7 ans commence l’école à 6h30 et tous les tahitiens travaillent très tôt. Donc des embouteillages monstres se créent dès 5h du matin ! Il nous dépose au marché couvert de la ville où nous déjeunons et nous profitons pour nous balader entre les étals de fruits, de poissons et autres produits artisanaux. Un peu plus tard, nous prenons le bus pour aller faire une petite randonnée qui mène à trois cascades et au « trou du souffleur » (un trou dans la roche qui expulse l’eau de mer en un geyser bruyant).

 

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 Pour repartir, nous ne trouvons pas de bus. Ici pas d’horaires fixes, le bus passe quand il veut et prend qui il veut ! Donc, une fois de plus, retour en stop. Nous passerons nos trois jours à faire du stop, mais on se rendra vite compte que les locaux ne veulent pas nous prendre et que les chauffeurs de bus ne semblent pas plus disposés à s’arrêter. De plus, la mentalité est très particulière et commence à nous fatiguer. Par exemple, il est impossible de réserver un taxi pour aller à l’aéroport le dernier jour car les sociétés de taxi nous disent que c’est trop dur de se lever tôt pour venir nous chercher et il semble insurmontable de noter un numéro de téléphone à plus de trois chiffre pour la réservation.

Bref, c’est finalement Alexandre qui nous mènera à l’aéroport afin que nous puissions prendre notre vol pour la Nouvelle Zélande. Nous partirons directement pour l’île du sud.  

 

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